Peuple Païen, te souviens-tu de ces vierges du ciel?
Filles D'odin, guerrières de vanadis!
Sous le crâne d'Ymir dans la bleutée de l'horizon
Comme l'aigle elles glissent à travers les pilliers célestes
comme le tonnerre les sabots
De leurs destriers martelaient l'azur
Elles se laissaient guider par l'écho des batailles
Leurs regards transpercaient la chair, percevaient l'honneur des hommes
Elles se laissent bercer
Par le vent cherchant les guerriers tombés
Occis l'épée en main!
Loin de la souffrance, de la mortalité
ces vierges aillées, dans leurs bras,
Etreignaient les décédés
Au-delà des nuages, vers la cime d'Yggorasil
Au Valhalla elles retournaient là
Où les braves vivent à jamais
A jamais...
Puis vient le chritianisme
Et l'embrassement des sites sacrés
A l'ombre de la croix,
Nos mythes furent bien vite oubliés...
Mais braves guerriers, regarde vers le ciel.
Les valkyries chevauchent toujours...
Toujours!
Comme le tonnerre les sabots
De leurs destriers martelaient l'azur
Elles se laissaient guider par l'écho des batailles
Leurs regards transpercaient la chair,
Percevaient l'honneur des hommes
Elles conduisaient les méritants vers le hall des cinheriars