Tes bras
Sont une bien douce chaîne
Et je sens dès qu´ils me prennent
Mon cœur qui bat
Tes bras
Je te jure qu´ils me donnent
Une ivresse que personne
Ne me donna
Tendre et docile
J´y resterai toujours
C´est le suprême asile
De mon amour
C´est là
Que les heures sont trop brèves
La vie passe comme un rêve
Entre tes bras
Si j´aime ta voix qui me câline
Ta voix qui me grise en me parlant
Si j´aime tes yeux qui me fascinent
Tes grands yeux pervers et troublants
J´aime surtout l´étreinte amoureuse
De tes bras où tremble mon désir
Mon âme fiévreuse
Est vraiment heureuse
Lorsque je viens m´y blottir
[Reprise des couplets 1 et 2]
Par les jolis mots que tu sais dire
Tu fais de moi tout ce que tu veux
J´ai beau me défendre, tu m´attires
Me troubler, pour toi, n´est qu´un jeu
Quand, pour me reprendre, je t´évite
Tu me tends les bras en m´implorant
Alors, vite, vite
Je m´y précipite
Et c´est toi qui me reprends